Après en chanson, c’est sur Instagram que Tory Lanez se justifie .
Inculpé par le tribunal après avoir tiré sur Megan Thee Stallion en juillet dernier, Tory Lanez conteste toujours les faits et continue à clamer son innocence. Déterminer à faire entendre sa version des faits, le rappeur s’est même livré dans son dernier album « DAYSTAR » où il revient sur les faits en donnant sa version.
Très mal accueilli, le dernier album a connu le pire démarrage de sa carrière. Sorti le 7 octobre, Le projet s’est hissé à la 10ème place du Top Albums du Billboard avec un peu plus de 36 000 exemplaires vendus. Ces scores sont bien loin de ceux qu’ a connu Lanez avec ses précédents albums. Ces chiffres reflètent le désamour que lui voue le grand publique. Malgré un talent musical indéniable, ce dernier ne pardonne pas à l’artiste les tirs présumés sur sa compagne de l’époque, Megan. Hier, pour la premier fois depuis les faits, Torry a fait son retour sur Instagram. Il a commencé son live en répétant (encore) qu’il était innocent et que malgré tout, il considérait toujours l’artiste de Houston comme son amie. De toutes ses explications, on retiendra surtout :
« Tout cela est fou parce qu’elle sait ce qui s’est passé, je sais ce qui s’est passé et nous savons ce que vous pensez, que les accusations qui portent sur moi ne sont pas vraies. Ce sont des informations falsifiées, de fausses informations, des informations inexactes. Je ne veux pas m’en sortir en disant que je n’ai jamais frappé cette fille. Je suis ici pour parler de cette fille et lui dire que je la respecte. Pour moi, elle est toujours mon amie même si elle ne me regarde plus comme ça. »
Des explications qui n’ont pas convaincues, Megan riposte !
Malheureusement pour Torry Lanez, celle qui considère toujours comme son amie n’a pas été convaincue par ses explications comme en témoigne son Tweet. Alors qu’il était en live, elle posta sur son compte Twitter « Ce mec est fou ! » . Un avis plus que partagé par les twittos.
Décidemment, l’histoire n’est pas prête de s’arrêter là …
Par Kapita Bibi
